LE BAD BOY DANS LES BADLANDS
Telle une trace de gommard sur le bitume,
Pour Tous Motards je ressors ma plume.
Ça sent mauvais, c’est temporaire mais on aime tous ça même si ça sert à rien…
Parfois acide, parfois ironique, parfois critique mais toujours ouvert aux débats et à la discussion, P-A partage sa vision et ses coups de gueule sur les événements, l’actualité et la vie motarde.
Telle une trace de gommard sur le bitume,
Pour Tous Motards je ressors ma plume.
Ça sent mauvais, c’est temporaire mais on aime tous ça même si ça sert à rien…
La version révisée de La cigale et la fourmi, de notre inspiré P-A!
C’est en m’éternisant quotidiennement sur les dizaines de groupes Facebook consacrés à la moto de tout genre, que le constat est sans appel : nous trépignons tous d’impatience en attendant le début de la saison… Du moins, au Québec !
Si nous suivons le célèbre « narratif » tant décrié des gouvernements au sujet de la sacro-sainte Covid, je vous conseille de laisser tomber la bécane les bro(s).
Si l’Esthétique de Hegel classifie les arts jusqu’à 7, que la TV et la BD se sont hissées respectivement au 8e et 9e rang, la moto occupe le 10e, tenez-vous le pour dit !
S’il y a bien une chose, qui quotidiennement me révolte, c’est la bêtise humaine. Autant vous dire qu’actuellement, je suis servi!
Tous Motards vous livre trois textes hétéroclites en lien avec la transmission de la passion moto.
Dans ce deuxième texte, notre PAC toujours en quête de paix intérieure, d’un élan du coeur, nous propose de suivre votre passion et surtout de la transmettre à d’autres.
ÉPILOGUE: J’aimerais revenir sur ma rencontre avec les piliers de Tous Motards. Marc-Antoine, le pragmatique…
J’estime en tant que passionné, avoir toute légitimité pour rectifier nombreuses élucubrations bien trop redondantes sur nos réseaux communs. Avec une seule dynamique; celle du recul, de l’objectivité et de l’amour des 2 roues; rien que ça!
Sportive japonaise, dual britannique ou autrichienne , fantasme italien, rêve américain ou même scooter juvénile… aucune limite. Ce qui compte c’est d’aller vers ce qu’on pense aimer quitte à se tromper.